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YELLOWJACKETS est la nouvelle série reine du gore – Critique
Dès sa scène d’ouverture, YELLOWJACKETS n’hésite donc pas à exposer la vulnérabilité du corps humain et à faire la part belle au gore. Pour Anne-Laure Pineau (Télérama), la série s’inscrit dans une nouvelle tendance : celle d’un gore revigoré par des méchants moins clichés. Selon elle, la série “pose les bases d’une année 2022 où les fictions horrifiques recyclent de vieilles recettes non sans y ajouter une modernité salvatrice.”. Difficile alors de ne pas penser à d’autres récentes réalisations comme Umma (Iris Shim), X (Ti West) ou encore Master (Mariama Diallo). Cette dernière partage d’ailleurs une autre caractéristique avec YELLOWJACKETS. En effet, la série se distingue également par l’atmosphère de surnaturel dans laquelle elle baigne. Avec sa cabane abandonnée, son mystérieux symbole et ses références à la religion, YELLOWJACKETS présente tous les éléments caractéristiques de l’horreur folklorique, un sous-genre qui s’appuie sur la ruralité et les thématiques de l’isolement, de la religion et du pouvoir de la nature.
From His New Album? Coming out soon. Instagram at Maoworldmusic Musique utilisée dans cette vidéo En savoir plus Écoutez de la musique sans publicité avec YouTube Premium Titre 〽️ Up - MØ x Sia x Major Lazer [Type Beat] Artiste Mantra Concédé sous licence à YouTube par Create Music Group, Inc.; UM
MOON KNIGHT entre réinvention et désillusion, que vaut la dernière série Marvel ? – Critique
MOON KNIGHT a tout pour plaire. Une histoire profondément ancré dans la mythologie de l’Egypte Ancienne, un casting lourdement armé et une direction artistique menée à la baguette. Dès le premier épisode, on s’accroche au personnage de Steven Grant. Emu par son désarroi et la découverte de cette deuxième entité qui cherche à prendre le dessus. Inspiré par le magnifique visuel du personnage du Chevalier de la Lune. Malheureusement, dès le début de l’intrigue à Gizeh dans les épisodes qui suivent, les choses s’essoufflent très (trop) rapidement. Les pistes se bousculent, se font et se défont sans intérêt, Ethan Hawke se gomme et laisse place à une cinquantaine de minutes décevantes. Quant aux effets spéciaux, le spectateur est en droit de se demander quelle mouche a piqué l’équipe VFX responsable du massacre de la course-poursuite des premières minutes de la série.